Guerre en Ukraine Est-ce mal géré et prend trop de temps ? Ceci est le résumé de ce que le commandant tchétchène a dit, Ramzan Kadirov, sur les stratégies militaires russes. Il est évident que les deux contre-offensives récentes menées par l’armée ukrainienne dans la région de Donetsk et dans l’oblast de Kherson ils créent des tensions au sein de la direction de l’armée russe.
Mais il est également clair que les actions militaires, qui conduisent à la reconquête des territoires occupés par les Russes, sont soutenues par des activités de sabotage vers les nouveaux organisations administratives russe, où les Ukrainiens pro-russes opèrent et en pressant des actes de Guerre urbaine. En effet, dans les régions sud et est de l’Ukraine plusieurs responsables locaux, qui ont choisi de collaborer avec les autorités d’occupation russes, ont été assassinés. Ces exécutions en série ils marquent, avec un rythme implacable, les temps de réaction des Ukrainiens. Au moins cinq Officiels ukrainiens pro-russes, z, ils ont été assassinés à trois reprises dans le sud et l’est de l’Ukraine, une région – celle-ci – sous occupation russe. Ces opérations ont été menées à des moments coïncidant avec les contre-offensives ukrainiennes, probablement dans le cadre d’un même plan stratégique visant à désorienter et à affaiblir, voire moralement, l’armée de Moscou et peut-être aussi Vladimir Poutine. Une de ces attaques contre le personnel ukrainien pro-russe a eu lieu contre le procureur général autoproclamé République populaire de Lougansk (Lpr), Sergueï Gorenko. Le fonctionnaire a perdu la vie, ainsi que son adjoint, dans le bureau du gouvernement qu’il présidait. L’explosion a dévasté une partie du bâtiment, mais surtout elle a créé un état d’insécurité même dans les lieux considérés comme protégés.
La nouvelle a été révélée par des sources officielles russes et confirmée par le chef de la République populaire de Louhansk, Léonid Passetchnik, qui a qualifié l’attaque d’ »acte terroriste ». Une déclaration instrumentale claire, compte tenu de la guerre en cours. Parallèlement, l’agence russe Interfax a annoncé une autre attaque, qui a entraîné la mort de Oleg Boïkochef adjoint de l’administration russe de Berdianskdans l’oblast de Zaporijia et responsable des services rendus par la Municipalité dans le cadre de l’administration militaro-civile de la ville, et de son épouse Lioudmilaresponsable de commission électorale territoriale locale, chargé d’organiser le référendum en rejoignant le Fédération Russe. Le couple a été tué près de leur domicile. Les autorités locales accusent Kiev d’avoir organisé ces attentats.
Mouchecompte tenu de l’insécurité et de l’instabilité générale, il a dans un premier temps reporté la date du votemais immédiatement après, les jours où il y aura un référendum pour l’annexion de certains à la Russie ont été annoncés oblast des régions occupées, qui a lieu du 23 au 27 septembre. Toujours le vendredi 16 septembre, selon l’agence russe Ria Novostides missiles ont touché plusieurs zones sous contrôle russe, dont l’une a semi-détruit un siège du gouvernement au centre de la ville de Kherson, blessant grièvement le chef du Département du travail et de la politique sociale de la région et tuant son chauffeur. L’agence russe Impôt signalé que, d’après les enquêtes menées par les autorités locales, les missiles qui ont frappé avec précision les bâtiments sont des missiles M142 Himars, Système de fusée d’artillerie à haute mobilité, Fabriqué aux États-Unis. Le conseiller présidentiel ukrainien, Mykhaïlo Mykhaïlovitch Podoliakrejette catégoriquement que Kiev être l’instigateur des attentats, accusateur, avec un message sur Twitter, que le blitz doit être considéré comme une confrontation entre des groupes criminels organisés locaux luttant pour des biens pillés avant leur évasion. Ou en tant que témoins de la purge des crimes de guerre par la Russie.
Cependant, la guerre en Ukraine a pris, comme on pouvait s’y attendre, l’aspect le plus déstabilisant pour la occupantsqui est celle des attaques internes contre zones contrôlées. UN guérilla affectant les ganglions de l’administration russe, un résistance faite de blitz visant à éliminer les collaborateurs considérés comme des traîtres à la patrie. Une précarité qui rend difficile l’organisation de ces opérations chantier administratif des régions subjuguées. Des actes qui se confondent également avec les nombreux vengeance ou la traite de toutes sortes, y compris des êtres humains, comme expulsion de mineurs. Et avec des atrocités de toutes sortes, ils portent le niveau de insécurité à des étapes très fatigantes pour les Russes. Par ailleurs, les dates communiquées par Poutine pour le référendum d’annexion accentuent les enjeux critiques du moment. Comme ça Andriy Yermakchef de l’administration présidentielle ukrainienne, a écrit sur Télégramme que l’Ukraine réglera la question russe qui sera liquidée par la force, et que Moscou accélère les référendums par « peur de la défaite ». Pendant ce temps, les forces ukrainiennes, depuis début septembre, ont reconquis des milliers de kilomètres carrés de territoire aux forces d’occupation russes.
Plus d’une vingtaine d’attentats, ces derniers mois, contre des collaborateurs ukrainiens pro-russes. Le site Anti-Poutinien russe, Médouzaa calculé ces événements, vantant l’échec « duopération spéciale ». Une voix dissonante dans l’espace de communication russe, mais à écouter avant qu’il ne soit trop tard.